Patch ne sait rien de ses parents. La seule chose qu’il sache c’est leurs nom de famille ; Sullivan. L a était adopter alors qu’il avait à peine une semaine par monsieur et madame Berry, qui ont découvert le nouveau-né dans un couffin au pied de leur porte, mais laisser moi expliquer plus dans les détails.

Le matin du 9 mars, le froid régner encore dans les rues de Brooklyn. On s’approcher du beau temps, mais il ne faisait pas encore des températures à se promener en t-shirt. Agacé par le froid qui régner dans leurs chambre, suite à un problème de radiateur, madame Berry, âgée de 42 ans, c’était levée de bonne heure pour aller chercher le journal et le lait devant sa porte, comme chaque matin, pour aller boire un bon thé bien chaud, tout en préparant le café de monsieur Berry, accompagné du journal.

Mais ce matin-là, Alicia Berry ne trouva pas seulement la bouteille de lait et le journal devant sa porte. Poser sur le paillasson, ce trouver un couffin, où un petit être remuer, ce réveillant doucement, avant de se mettre à pleurer, sans doute à cause du froid et du fait qu’il devait avoir faim. Profondément choqué par cette acte, Mme Berry c’est emparer du petit être dans son lit de fortune pour le rentrée à l’intérieur, prenant soin de refermer la porte derrière elle.

-Jake ! Jake, viens vite !

Affoler par le ton qu’avait pris sa femme pour l’appeler, Jake Berry, jeune quadragénaire, à dévaler les escaliers pour retrouver son épouse dans la cuisine, penchée au-dessus d’un couffin. Avant même de pénétrer dans la pièce, Jake avait entendue des pleures d’enfants. Chose qui fut confirmé quand il vit le petit garçon pleuré à gorge déployer dans sa propre cuisine.

-Je l’ai trouvé sur le paillasson. Jake, quelqu’un à abandonner ce bébé devant notre porte.

Jake et Alicia Berry n’avaient jamais parlé d’avoir d’enfants. Ils n’étaient pas contre, ni pour, ils pensaient simplement que si cela devait arriver, alors cela arrivera. Pour le moment, ce moment n’était pas arrivé, mais visiblement quelqu’un avait forcé le destin en déposant ce petit garçon devant leur porte. Madame Berry ce tourna vers son mari, avant de se tourner vers le nourrisson qui avait attraper son doigt dans sa petite main , et lui sourit.

-Il est tellement mignon, on dirait un petit ange.

Jake était plutôt d’accord avec sa femme. Il avait de grands yeux bleus, et quelques cheveux bruns ce bataillé sur son crâne pour le moment peut garni. A le regarder ainsi, il aurait presque pu croire que c’était le leur, à s’accrocher au doigt de sa femme.

-C’est vrai qu’il a l’air adorable.

Ses pleures avaient cessé, et son regard aller de Alicia, à Jake. Comme s’il essayer de savoir qui ils étaient et ce qui se passer.

-Jake, qu’allons-nous faire de ce petit bonhomme ?


Il n’y avait pas trente-six solutions. Ils ne pouvaient pas garder ce bébé avec eux, c’était contre la loie. Si jamais c’était quelqu’un qui avait kidnappé le bébé, avant de l’abandonner ici et qu’ils le gardaient, ils pourraient avoir de grave problème. Et si la mère décider de le récupéré, là encore, ils auraient des problèmes.

-Il faut qu’on l’emmène à la D.A.S.E.

Il voyait bien que cette solution n’emballer pas sa femme, lui non plus à vrai dire, mais pour le moment, c’était la seule solution qui s’offrer à lui. En ce penchant un peu plus sur le bébé, il remarqua une bout de papier blanc dépasser du plaide bleu claire. Jake fronça les sourcils et tira dessus pour récupérer une enveloppe blanche, immaculé. Il jeta un regard à sa femme, avant d’ouvrir l’enveloppe pour y récupérer un courrier.

« Madame, monsieur,
Je sais que mon geste peut vous paraitre irresponsable et incompréhensible. Mais je n’ai plus les moyens de prendre soin de mon fils. Vous avez une belle maison, et je sais que la vie de mon bébé sera entre de bonne main. Il s’appelle Patch. Patch Sullivan, je vous en supplie, prenait bien soin de lui. Donner lui une vie heureuse, où il ne manquera de rien. J’espère qu’il trouvera la force de pardonner, cette inconnue que je serais pour lui, de l’avoir ainsi abandonner. »

Monsieur et Madame Berry échangèrent un regard, mais sans dire un mots, tous les deux tourner vers le jeune Patch qui gigoter doucement dans sa couverture.

Un an plus tard, après de nombreuses questions et de longues enquêtes, la famille Berry ont pu accueillir Patch Sullivan, comme membre à part entière, dans sa nouvelle famille.

Depuis, Patch n’a jamais manquer de rien. Vers l’age de 8 ans, Alicia lui expliqua que s’ils n’avaient pas le même nom de famille, c’était simplement parce qu’il n’était pas leur fils biologique. Que sa mère l’avait laissé sous leur porche. Depuis, Patch à toujours était plutôt renfermer, même s’il a toujours l’air d’un caïd. Il c’était renfermer dans le sport pour évacuer la colère qu’il avait contre sa mère biologique, mais aussi la douleur qu’il avait d’avoir était abandonner.

Il y à un an, les Berry on quitter Brooklyn, quartier un peu dangereux, pour partir à plusieurs heures d’ici, et ce perdre au milieu de Forks. Une petite bourgade où il pleut quasiment 365 jours par an. Ca ne dérange pas vraiment Patch, si on oublie le fait qu’il a dû abandonner ses amis. Il y a de grands espaces, libres pour lui de courir où il le souhaite, comme il fait à chaque fois qu’il a un peu de temps libre. Cela dit, il n’est pas vraiment sur que l’endroit soit plus sûre vue le nombre importants d’attaques d’animaux sauvage dans le coin..

Patch donne l'impression de quelqu'un de très colérique, qui ne contrôle pas ses nerfs et qui aime pas grand monde, mais c'est seulement une carapace. Patch est en faite quelqu'un de très calme et surtout très sensible. Au fond de lui, il a grand coeur, mais il ne veux pas l'exposer à tout le monde. Il fait ça pour se protéger tout simplement. Au fond de lui, Patch est quelqu'un qui est mal dans sa peau. C'est pour cela qu'il a la carapace d'un gros caïd qui a peur de personne. Le seule moyens qu’il a trouvé pour se défouler et ce sentir bien, c’est le sport. Ainsi, depuis qu’il est jeune, Patch à fait du football américain, du hockey sur glace, de la lacrosse, du rameur, de la natation et pleins d’autre sport encore. Il se sent bien que sur un terrain. Il sait qu’il est doué dans ce qu’il fait et il aime que les gens le remarque et le félicite pour cela.